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L’accident vasculaire cérébral (AVC) chez le chat est une atteinte des vaisseaux qui drainent le sang vers le cerveau. Cette atteinte peut consister en une rupture d’un vaisseau, on parle dans ce cas d’un AVC hémorragique ou hémorragie cérébrale chez le chat, ou l’obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot, il s’agit dans ce cas d’un AVC ischémique ou infarctus cérébral chez le chat, qui provoque la diminution de l’afflux sanguin vers une ou plusieurs régions du cerveau. L’AVC chez le chat est beaucoup moins fréquent que chez le chien.
En raison d’une réduction de l’apport sanguin et donc d’oxygène, la zone cérébrale touchée fonctionne mal et se manifeste par des dysfonctionnements d’ordre neurologiques en fonction de la zone touchée.
L’âge moyen des chats touchés par l’AVC est de 8 ans et demi. En raison de son apparition brutale, l’AVC chez le chat est considéré comme une urgence vétérinaire.
L’AVC chez le chat est causé par une diminution de l’afflux sanguin et donc d’oxygénation, au niveau d’une partie ou de la totalité du cerveau. Il faut savoir que les symptômes apparaissent brutalement après l’attaque.
Les symptômes dépendent en grande partie de la région atteinte. Voici ce qu’on peut observer généralement comme symptômes d’un AVC chez le chat :
Il est utile de signaler que les symptômes d’un AVC chez le chat sont totalement différents de ceux d’un être humain. Il est donc inutile de chercher les symptômes d’un AVC de l’homme chez le chat suspecté d’avoir un accident vasculaire cérébral.
Il est primordial de noter l’ensemble des symptômes et les décrire au vétérinaire pour une meilleure prise en charge. Une guérison rapide et sans de graves séquelles dépend essentiellement de la rapidité de la prise en charge par le vétérinaire.
Les causes d’un AVC chez le chat sont diverses et peuvent avoir plusieurs origines. Raison pour laquelle dans certains cas, on parle de facteurs de risque plutôt que de causes, en elles mêmes.
Il faut savoir que l’AVC chez le chat est une atteinte des vaisseaux sanguins qui drainent le sang vers le cerveau. Elle peut être ischémique (obstruction d’un vaisseau) ou hémorragique (rupture du vaisseau sanguin).
Dans ce cas, un trouble de la coagulation lors d’un traumatisme crânien, par exemple, favorise la formation d’un caillot et peut provoquer la rupture d’un vaisseau ce qui entraîne un accident vasculaire cérébral.
Une hémorragie cérébrale due à un saignement d’une tumeur peut également entraîne la rupture d’un vaisseau sanguin et provoquer ainsi un AVC chez le chat.
Une malformation vasculaire congénitale ou une inflammation des vaisseaux sanguins peuvent aussi être l’origine d’un AVC chez le chat.
Il s’agit d’une obstruction d’un vaisseau sanguin qui réduit ainsi l’afflux sanguin vers le cerveau. Dans de nombreux cas (50%), la cause d’un AVC chez le chat est inconnue, on parle d’un AVC idiopathique.
Parmi les causes ou les facteurs qui provoquent l’AVC ischémique chez le chat, on peut souligner :
Il faut signaler que l’AVC chez le chat est rare, en particulier l’AVC ischémique.
Un mini AVC chez le chat, appelé également un accident ischémique transitoire (AIT) est une atteinte d’origine vasculaire qui touche le cerveau et qui dure moins d’une heure. Il ne laisse aucune trace à l’imagerie médicale.
Reconnaître un AIT chez le chat est primordial parce que souvent, la survenue d’un accident ischémique transitoire est souvent annonciateur d’un AVC dans les prochaines semaines ou mois.
Un accident ischémique transitoire a presque les mêmes symptômes d’un accident vasculaire cérébral ischémique. Toutefois, la différence réside dans la durée des symptômes.
Dans le cas d’un AIT chez le chat, les symptômes durent moins d’une heure. Parmi les symptômes d’un mini AVC chez le chat, on peut observer :
Ces symptômes ne durent généralement que quelques minutes et disparaissent sans laisser de séquelles ni de traces sur l’imagerie médicale.
Il est nécessaire dans un premier lieu de reconnaître les signes cliniques d’un AVC chez le chat pour prendre les mesures nécessaires.
Toute modification de comportements, dans la démarche, ou des modifications oculaires (nystagmus, une pupille plus dilatée qu’une autre) chez le chat doivent jeter la suspicion sur un cas d’AVC.
Pendant l’AVC, il est nécessaire d’éliminer toute source d’excitation et de stress. Il faut aider le chat à se calmer et ne pas stresser. Le mettre dans un climat calme et tranquille est un moyen efficace. Communiquer avec le chat est aussi un moyen d’instaurer un environnement chaleureux et détendu.
Il est également important d’observer tous les détails liés à cet accident, les noter et les décrire une fois chez le vétérinaire.
Toutefois, le réflexe à avoir est d’appeler immédiatement le vétérinaire s’il peut se déplacer ou l’emmener rapidement en consultation pour une prise en charge rapide. Car, comme expliqué, l’AVC est une urgence vétérinaire et le risque de séquelles permanentes dépend de la rapidité de la prise en charge.
L’AVC chez le chat est une urgence vétérinaire. Si vous suspectez un accident vasculaire cérébral chez votre chat, emmenez le immédiatement chez le vétérinaire.
L’objectif du traitement et de la prise en charge d’un chat victime d’un AVC est de traiter les symptômes d’abord, et ensuite, poser un diagnostic pour déceler la cause de l’AVC afin de la traiter.
Il s’agit d’une oxygénothérapie qui a pour but d’oxygéner le cerveau pour freiner la destruction des cellules nerveuses et favoriser leur régénération. Car il faut savoir, qu’au bout de 3 minutes sans oxygène, la détérioration des cellules nerveuses débute.
Le vétérinaire prescrira également des médicaments qui favoriseront la circulation sanguine et la diminution de la pression intracrânienne, dans certaines circonstances.
Il est primordial de traiter la cause à l’origine de l’AVC chez le chat. Autrement, elle dégradera l’état de santé du chat, et entraînera d’autres accidents cérébraux avec comme conséquences, des séquelles neurologiques ou locomotrices permanentes.
Le vétérinaire demandera au propriétaire les antécédents et les habitudes du chat victime de l’AVC, et à partir de son enquête et de son examen clinique, il tentera d’établir un diagnostic. Généralement, le recours aux examens complémentaires est nécessaire.
Dans le cas d’un traumatisme, le vétérinaire réalisera un examen clinique à la recherche d’autres atteintes et un examen complémentaire à travers des examens sanguins ou d’urine pour découvrir d’éventuelles atteintes hépatiques ou rénales.
Dans le cas d’une tumeur, des examens approfondis sont nécessaires : IRM, scanner entre autres.
Dans le cas d’une suspicion d’une infestation parasitaire, qui peut être à l’origine de l’AVC chez le chat, un examen microscopique des matières fécales est effectué par le vétérinaire pour confirmer le diagnostic.
En résumé, le traitement d’un AVC chez le chat doit être réalisé rapidement pour limiter les séquelles définitives.
Il est également nécessaire de bien veiller à hydrater et nourrir le chat et l’assister régulièrement dans ses besoins alimentaires, de déplacement et d’excrétion.
Enfin, il est utile de souligner qu’un chat victime d’un AVC peut se rétablir rapidement et sans séquelle s’il est pris en charge rapidement dans les premières heures après son accident vasculaire.
Les conséquences d’un AVC chez le chat peuvent être nombreuses. Elles dépendent notamment de la rapidité de la prise en charge.
Parmi les suites d’un AVC chez le chat, on peut avoir :
Ces conséquences peuvent être permanentes chez le chat et nécessiteront des traitements à vie.
D’un autre côté, un AVC chez le chat non traité dans les premières 24 heures après sa survenue peut laisser des séquelles neurologiques permanentes. Dans certains cas, l’euthanasie est nécessaire.
Toutefois, une prise en charge rapide établie par le vétérinaire permet souvent un bon rétablissement du chat. Une période de convalescence est, certes nécessaire, mais le chat pourra retrouver toutes ses fonctions et sa forme. Une convalescence qui inclue des soins et des séances de rééducation.
Il est à noter que plus le chat est jeune, plus il récupérera mieux après un accident vasculaire cérébral.
La rupture d’anévrisme est due à une hypertrophie de la paroi d’un vaisseau sanguin qui provoque sa rupture brutale. L’hémorragie causée peut entraîner la formation d’un caillot de sang qui obstrue le vaisseau sanguin et donc réduit l’irrigation du cerveau.
La rupture d’anévrisme chez le chat peut être considérée comme une des causes de l’accident vasculaire cérébral de type hémorragique.
La rupture d’anévrisme chez le chat est très rare.
L’AVC chez le chat est très rare en comparaison avec l’homme ou le chien. Il est d’apparition soudaine et brutale due à une obstruction ou la rupture d’un vaisseau sanguin qui irrigue le cerveau. Il est quasi impossible d’anticiper un AVC chez le chat. Toutefois, il est nécessaire de reconnaître les premiers signes qui se manifestent pour agir rapidement. Parmi ces signes :
– Troubles de la démarche.
– Nystagmus : mouvements anormaux des yeux.
– Vomissements, nausées, perte d’appétit.
– Désorientation.
– Crises convulsives
Dés l’apparition de ces signes, il est primordial d’emmener immédiatement votre chat chez le vétérinaire. L’efficacité de la prise en charge de ce cas dépend de la rapidité d’action.
L’Accident Vasculaire Cérébral consiste en une perte brutale d’une ou plusieurs fonctions cérébrales due à la réduction de l’apport sanguin au niveau du cerveau.
Cette perturbation de la circulation sanguine au niveau du cerveau peut être due à une obstruction des vaisseaux sanguins qui provoque un infarctus cérébral ou à une rupture totale de ces derniers ce qui provoque une hémorragie cérébrale.
Parmi les causes d’un AVC chez le chat, on peut citer :
– Traumatismes.
– Troubles de la coagulation.
– Tumeurs
– Diabète, hypertension, maladie de cushing.
– Maladies cardiaques.
– Insuffisance rénale.
– Maladie hépatique.
– Infestation parasitaire.
Chez le chat âgé, les pertes d’équilibre, appelée également l’ataxie, sont généralement fréquentes et les causes multiples. L’ataxie est un trouble de la coordination des mouvements qui peut toucher les chats de différents âges. Les pertes d’équilibre chez le chat âgé se manifestent par des incoordinations locomotrices, des sensations de tourner en rond et des chutes.
Chez le chat âgé, elles sont généralement causées par des affections vestibulaires dont les origines peuvent être tumorales, inflammatoires ou traumatiques. Chez le chat âgé, l’ataxie est le plus souvent causée par des tumeurs cérébrales.
Non, l’accident vasculaire cérébral chez le chat n’est pas héréditaire. Aucune étude n’a montré l’impact de l’hérédité sur la survenue des accidents cérébraux chez les félins.
Toutefois, quelques recherches scientifiques, estiment que l’hérédité est un facteur de risque.